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Features of First Nation forest management institutions and implications for sustainability

Treseder, L.; Krogman, N. T.

1999

Journal:

Forestry Chronicle

journalArticle

Abstract

This paper provides an overview of three approaches to forest management being applied by First Nations in Canada: industrial forestry, forest co-management and community forests. Industrial forestry, involving large-scale harvesting of timber, has been successful in increasing employment levels for some First Nations. However, industrial forestry is difficult to pursue due to the significant financial and timber resources it requires, and it may result in social conflicts between timber harvesters and traditional users of the forest. Forest co-management refers to shared management of forest resources by First Nations, government and/or industry. Benefits of co-management for First Nations can include better decision-making, increased employment opportunities, and cultural sensitivity toward First Nation forestry concerns. Disadvantages can include inequality of the partners in co-management arrangements and lack of public involvement in decision-making. Community forests often include local control, local investment of profits, and greater attention to the long term returns from the forest. The community forest approach may be hindered by a lack of profit, an absence of alternative tenure arrangements and other models to follow, and difficult access to financial resources and adequate land bases. The current state of institutional reform offers hope for the incorporation of Aboriginal objectives in sustainable forest management. New institutions can contribute to sustainability in forest-dependent Aboriginal communities by increasing commitment to and support of local forest management practices. Cet article représente un aperçu de trois approches suivies en aménagement forestier par les Premières Nations au Canada : la foresterie industrielle, la co-gestion forestière et les forêts communautaires. La foresterie industrielle, qui comprend la récolte à grande échelle de la matière ligneuse, a permis d'accroître avec succès les niveaux d'emploi de certaines Premières Nations. Toutefois, la foresterie industrielle est difficile à maintenir à cause des importantes ressources financières et forestières requises, et pourraient résulter en conflits sociaux entre les utilisateurs industriels de la matière ligneuse et les utilisateurs traditionnels des forêts. La co-gestion forestière fait référence à la gestion partagée des ressources forestières entre les Premières Nations, le gouvernement et/ou l'industrie. Les bénéfices de la co-gestion pour les Premières Nations peuvent comprendre une meilleure prise de décision, l'accroissement des possibilité d'emploi, et une sensibilisation culturelle envers les besoins forestiers des Premières Nations. Les forêts communautaires comprennent souvent une administration locale, l'investissement local des profits, et une plus grande attention aux bénéfices à long terme tirés de la forêt. L'approche des forêts communautaires peut être handicapée par la faiblesse des profits, une absence d'arrangements alternatifs de tenure, le manque de modèles à suivre et les difficultés à accéder aux ressources financières et aux territoires adéquats. L'état actuel de la réforme des institutions offre de l'espoir au niveau de l'incorporation des objectifs des Premières Nations en aménagement forestier durable. Les nouvelles institutions peuvent contribuer à la durabilité des communautés autochtones dépendantes des forêts par l'accroissement des engagements et des appuis envers les pratiques locales d'aménagement forestier. Mots-clés: sociologie forestière, aménagement forestier durable, Premières Nations, institutions sociales, foresterie industrielle, co-gestion forestière, forêts communautaires.

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